dimanche 23 septembre 2018

octobre





Nous devons le recul des armées allemandes en 1918 aux régiments français, certes – mais aussi aux troupes des USA et du Commonwealth (Grande Bretagne, Canada, Australie, Nouvelle Zélande …). Les cimetières britanniques, petits ou grands, les immenses mémoriaux de Thiepval, Pozières ou Villers Bretonneux le rappellent. Et nous admirons, souvent de loin et sans oser y entrer, l’impeccable décoration florale.
Mais pourquoi et comment ont-ils été créés, pourquoi ces tombes britanniques dans certains cimetières communaux (Andechy, Davenescourt etc.), ou dans des nécropoles nationales françaises (Montdidier), pourquoi ces cimetières isolés dans les champs ne comportant parfois que quelques tombes (Bouchoir, Hourges, Vrély par exemple), que peut-on lire sur les stèles, qui est en charge de l’entretien ? – tout cela, nous l’ignorons souvent.
C’est pour répondre à ces questions – et expliquer aussi l’importance du ‘tourisme de mémoire’ de la part des Britanniques – que Richard Moss, qui a passé sa vie au sein de la Commission des Cimetières militaires du Commonwealth (Commonwealth War Graves Commission) donnera une conférence

vendredi 12 octobre 2018 à Montdidier
(20h., Hôtel de Ville)


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